Acharnement therapeutique
Au niveau médical , lorsqu'un enfant nait , ( au delas de 25 semaines d'aménorrhée ) , il est considérer comme était un être humain .
Des sa naissance , l’enfant doit bénéficier de soins , même si son espérance de vie n’est que de quelques heures . Même faible , il convient de respecter celui-ci sans acharnement de manière déraisonnable .
Lorsque l’enfant né , celui-ci a recourt a tous les moyens mis en œuvre pour assurer sa survie . Si la situation se dégrade et que l’état de l’enfant est jugé désespéré au niveau de son autonomie vitale et neurologique , lui causant des souffrances insoutenables , l’équipe médicale estime alors que les traitements et/ou la réanimation n’ont plus de sens .
L’acharnement thérapeutique commence la ou la science s'arrête .
En effet , lorsque , malgré les atteintes neurologiques extrêmement prononcées et malgré l'absence de techniques actuelles assez puissantes , l'équipe médicale persiste au détriment du bien être de l’enfant , il sagit bien d’acharnement .
Nous pouvons alors voir que la réanimation de ces petits êtres devient un enjeux éthique important .
Plusieurs questions se posent :
L’acharnement thérapeutique en vaut il la peine si un enfant prématuré porte de lourdes séquelles a vie ?
Doit on laisser mourir les enfants nés très prématurément sous prétexte qu’il risque de survivre handicapés ?
C’est un vrai dilemme qui se pose faces aux parents et a l'équipe médicale , car c’est un choix qui est souvent difficile et douloureux .
Humainement et moralement , il est condamnable de ne pas réanimer un grands prématuré a la naissance , si celui-ci est déclaré viable par le médecin , mais qu’il ne correspond pas aux attentes et images de l’enfant modèle tant attendu au yeux des parents .
A l’opposé , quand les médecins et les parents observent , après l’essaie d’un traitement et réanimation , que l’enfant s'étiole et se meurt , l’acharnement