Adam smith, la richesse des nations chapitre 4 et 5
Comment smith définit le profit
C un prelèvement sur la valeur que le travail des ouvriers a ajouté aux matières premières sur les quelles il travaille.
C est le produit du travail.
Mon travail crée une valeur ajoutée partagée entre salaire profit et travail.
Elle fait passer sans l’argum que le supplément de la vaeur d’un bien c que du travail.
Marx pense que smith a tout compris.
Ce que nous appelons profit c un supplément sur la valeur du travail.
Adam Smith, La richesse des nations
Chapitre 4 et 5
Expliquons à présent comment la pensée économique classique s’est appuyée sur le mercantilisme et la physiocratie pour se construire et s’affirmer.
L’objet de ces deux chapitres est la Notion de valeur et de richesse chez Adam Smith. En réalité, on remarque que chaque bien est défini par une certaine quantité de monnaie, ce qui peut nous faire penser que la monnaie ( constituée de métaux a l’époque d’Adam Smith) est déterminant de la valeur.
Pour lui, la véritable unité de mesure ne doit pas être la monnaie car la valeur de l’or et de l’argent varie dans le temps. En effet si un bien vaut 5 Euros a l’instant t et 2 Euros en t+1, on ne sait pas si le bien a perdu de la valeur ou si la monnaie en a pris ! Il faut donc une mesure invariable de la valeur, c'est-à-dire un déterminant qui ne varie pas dans le temps. Ainsi Smith désigne le travail comme seul véritable déterminant de la richesse. C’est la quantité de travail qu’une marchandise peut acheter ou commander qui va déterminer sa valeur, il distingue donc le prix réel des marchandises ou la quantité de travail que l’on obtient en échange de cette marchandise et le prix nominal exprimé en argent. La différence entre les deux réside dans le fait que la valeur propre du travail ne varie pas dans le temps et permet une véritable appréciation inter temporelle de la richesse.
Cependant on ne mesure pas une marchandise par une certaine quantité de travail dans le sens où le