Afrique du sud
L'afrikaans est une langue germanique parlée en Afrique du Sud et en Namibie, issue du néerlandais. Le mot afrikaans signifie « africain » en néerlandais
Apartheid (« vivre à part » en afrikaans) est un terme qui désigne initialement l’apartheid en Afrique du Sud, une politique de lois de séparation raciale appliquées en Afrique du Sud entre 1948 et 1991[1] et qui avaient notamment institué au niveau international sur la discrimination raciale entre blancs, noirs, métis et indiens et créé des bantoustans sur des critères ethniques. Cette politique a été appliquée en Afrique du Sud et dans le Sud-Ouest africain (1959-1979), alors sous tutelle sud-africaine.
En Afrique du Sud, le township est un ghetto noir créé à la périphérie des grandes agglomérations pendant l'apartheid.
Soweto (South Western Township) est une banlieue noire (appelée township) en Afrique du Sud, située à 15 km au sud-ouest de Johannesburg, dans la province du Gauteng (Transvaal).
Il fait partie de la municipalité de Johannesburg (quartier 6 et 10). Soweto comprend plusieurs quartiers, certains aisés, d'autres très pauvres et des bidonvilles. Soweto demeure une des régions les plus pauvres d'Afrique du Sud.
Les émeutes de Soweto étaient une manifestation d'adolescents noirs en Afrique du Sud le 16 juin 1976, protestant contre l'imposition de l'enseignement exclusif en langue afrikaans et qui dégénéra lorsque la police ouvrit le feu.
Les résultats officiels des premières élections multiraciales sud-africaines furent publiés début mai 1994. Les sud-africains avaient voté pour élire leurs représentants au parlement et dans les conseils provinciaux. À cette fin, 9 nouvelles provinces avaient été constituées à la place des 4 anciennes, réintégrant les dix bantoustans indépendants ou autonomes: • L'ANC