Aide pour le baccalauréat

829 mots 4 pages
La première phrase est brève. Elle introduit bien la troisième partie, c’est une nouvelle histoire. « c’était au tour d’Emile » ligne 1 fait penser qu’il va se produire une bonne chose, on pense que c’est en jeu. Cependant, il faut lire la suite pour comprendre qu’en fait il s’agit de la mort. Cette dernière est évoquée petit à petit avec des mots tels que « monument aux morts » ligne3, « victimes » ligne 4. Puis, le narrateur évoque Joseph, le frère d’Emile. On comprend par la suite, que la guerre les a séparés. Elle les a éloignés, « comme exilés l’un de l’autre » ligne 5. C’est comme si leur nom de famille perdait de la valeur « semble s’affaiblir en un simple cousinage » ligne 7. Le narrateur dit ouvertement que Emile et Joseph auraient mieux fait de mourir en même temps, pour être unit pour toujours. Il dit aussi les deux situations, la situation actuelle (l’un est mort en 1916, l’autre en 1917), mais il y a aussi la situation meilleure, mise en valeur par « alors que » ligne 8. Cette conjonction de coordination oppose les deux éléments. La situation espérée aurait été « les deux noms accolés les auraient réunis dans la mort » ligne 9. Il y a le champs lexical du partage avec « deux noms accolés »ligne 8, « réunis » ligne 9, « deux frères » ligne 9, « côte à côté » ligne 10, « la même » ligne 10, « jumelés » ligne 11. Cette insistance insiste sur l’amour que porte le narrateur sur ces deux personnes, il les met au même niveau. La mort d’Emile a laissé des personnes submergées par la peine. Il y a le champ lexical de la souffrance avec « larmes à verser » ligne 12, « douleur » ligne 13, « veuve » ligne 14. C’est la réalité, c’est ce que ressentent les personnes qui ont connu les défunts. Il y a un contraste entre la mort (vu précédemment) et la natalité comme « petit Rémi » ligne 14, « naissance de l’enfant » ligne 16. «berceau » ligne 18. Il y a une accentuation sur la petitesse « courte » ligne 15, « petite » ligne 19, « minuscules » ligne 20. L’enfant est

en relation

  • Commentaire l'atelier de grumberg
    984 mots | 4 pages
  • Commentaire Parle leurs de batailles, de...
    1304 mots | 6 pages
  • Vipère au poing
    362 mots | 2 pages
  • Analyse une virgule comme bouclier
    690 mots | 3 pages
  • Les nouvelles chroniques du crime
    2268 mots | 10 pages
  • La vie de Jehanne d'Arc
    578 mots | 3 pages
  • Claude gueux
    637 mots | 3 pages
  • Maupassant : bel-ami
    785 mots | 4 pages
  • La preuve de la filiation de 1789 à 1904
    2207 mots | 9 pages
  • Jen sais rien
    361 mots | 2 pages
  • Le rsa
    1540 mots | 7 pages
  • Marivaux
    886 mots | 4 pages
  • Rhinocéros
    837 mots | 4 pages
  • Trtmrt
    499 mots | 2 pages
  • Interview fictive de victor hugo
    453 mots | 2 pages