Albert camus
Nous avons bien affaire ici à une conclusion traditionnelle. On trouve un bilan et d'une ouverture. A. Camus rappel la thèse qu'il a développé au cour du discours, on le voit avec les termes « liberté » et « vérité » présente comme les deux charges de l'écrivain. On constate les adjectifs utilisés « mystérieux, fuyante...dangereuse... » qui se trouve ligne 1-2, qui confirme le caractère difficile de ces deux charges. L'adverbe « péniblement » joue le même rôle et « résolument » prouve la volonté de l'écrivain. Le verbe « devoir » rappel l'obligation d'engagement de l'écrivain. Dans un second temps A. Camus revient à parler de lui même, on le voit grâce au « quant à moi » ligne 05. Il veut nous montrer que ces origines explique pourquoi il est écrivain et qu'il est engagé ligne 07-08. L'humilité de l'écrivain s'exprime à travers les thermes « erreurs » et « fautes ». Son enfance joue un rôle important. « La lumière » ligne 06 évoque le soleil algérien ou il est né et ou il a grandi, le terme « nostalgie » à une connotation affective : on sent que l'écrivain est attaché à ces origines. Camus en vient aux remerciements officiels ligne 14-15 puis par la promesse qu'il fait pour l'avenir. On a l’équivalent de l'élargissement dans une conclusion traditionnelle.
Nous allons maintenant voir que cette conclusion est chargée d'émotion. L'émotion est perceptible à travers l'implication personnel de l'auteur quand il évoque son enfance. Le rythme ternaire de la ligne 06 suggère la