Aldous Huxley : le meilleur des mondes

I) critique ironique de ce monde
a) procédé ironique
-utilisation d’antiphrases l 3 « danger de lire » c’est bien une antiphrase, déjà employée par Voltaire : « pamphlet de l’horrible danger de la lecture »
-des chois lexicaux qui doivent inquiéter le lecteur, tout les termes renvoi à l’idée qu’il y a une main mise sur l’esprit humain (conditionnement)
-rapprochement de termes problématiques, termes approximatif les sentiments sont quelque chose d’immoral, manipulation des sentiment (la rose)
-des désignations qui choque pour les classifications des castes et les traitements qu’on adapte en fonction de leurs conditions.
b) relation élève professeur
-une sorte de ballet pédagogique le fait que l’élève pose une question montre son intérêt sur le principe essentiel mais il n’a pas compris une petite chose. Sa question ne vise pas à mettre en doute le professeur car longue phrase de respect.
-le DIC en parfait pédagogue reprend toutes les étapes l10 à25 ccl ce qui rend l’étudiant en parfaite admiration du professeur.

II) Une contre utopie
a) aspect négatif une société totalement inégalitaire et hiérarchique c’est marqué directement dans le texte une société coupé en 2 les décideur et les masses. C’est une technocratie.
b) c’est utopie elle doit être rationnel et efficace. Des hommes fabriqué pour appartenir à t-elle ou t-elle classe fondement de la société les alpha sont étiquetés par le « nous » dans le texte c’est une société qui n’a pas de finalité ici le but est la production économique exemple les fleures et la nature sont inutile a la croissance mais vont faire consommer les autre classe des appareil de sport compliqué…
c) une société totalitaire totalitaire mais il n’y a pas de parti unique mais l’économie à pris les reines ce qui entraine des pratique discutables (secousse électriques)

Conclusion : Huxley a été visionnaire puisque notre société rejette ce qui est inutile et pas