Alexander pope
Ses années de formation ont été studieuses et propices à la création poétique. On le considère généralement comme le plus grand poète anglais du début du XVIIIe siècle, connu pour ses poèmes satiriques et sa traduction d'Homère. Il est l'écrivain anglais le plus souvent cité après William Shakespeare. Son œuvre la plus connue est La Dunciade (The Dunciad), un poème satirique.
Son appartenance à la franc-maçonnerie, établie comme certaine par quelques archivistes [2], reste encore discutée. Elle a pour unique source la présence du nom de « Alex Pope » sur la liste des membres de la « Lodge held at the Goat » de Londres. Dans son essai Alexander Pope and Freemasonry: A Discursive Essay (2003), l'historien W. J. Williams préfère parler d'association entre Pope et les francs-maçons tandis que Cécile Révauger, enseignante à l'Université de Bordeaux III[3], explique que « le doute a plané sur l’appartenance maçonnique de Swift et de Pope mais jamais aucune preuve n’a pu être apportée ».
Œuvres
(1709) Les Pastorales (Pastorals)
(1711) Essai sur la critique (An Essay on Criticism)
(1712) La Boucle de cheveux enlevée (The Rape of the Lock)
(1713) Windsor Forest
(1715) Préface de l'Homère anglais
(1717) Épître d'Héloïse à Abelard (Eloisa to Abelard)
(1717) Elegy to the Memory of an Unfortunate Lady
(1728) La Dunciade ou guerre des sots (The Dunciad)
(1734) Essai sur l'homme (Essay on Man)
(1735) The Prologue to the