Alfred de musset nuit de mai
Pour commencer, nous allons voir la solitude du poète
En effet, les différents sens comme la vue vers 7 à 13 : « J’ai cru qu’une forme voilée […] Elle s’efface et disparaît » , ainsi que l’ouie dans le vers 26 : « Ne frappe t-on pas à ma porte » et vers 30 : « Qui vient ? Qui m’appelle ?
-Personne » expriment la solitude.
Il y a aussi différentes souffrances qui marquent la solitude, la souffrance physique qui nous est montré au vers 30 : « tout mon corps frissonne » et aussi une souffrance morale que l’on voit grâce aux exclamatives de la douleur au vers 33 : « Ô solitude ! Ô pauvreté ! » .
On voit aussi au vers 9 : « Flottait là-bas sur la forêt » et au vers 12 : « c’est une étrange rêverie » que à trop rêver, le poète commence peu à peu à perdre la tête.
Nous voyons grâce à cela le mal être du poète, qui est totalement perdu , se pose des questions
Nous allons maintenant donc présenter le soutien de la muse dans la création poétique.
Le poète étant désespéré par le "mal de vivre" ne trouve plus la force ni l'inspiration nécessaire, on voit cela au vers 7 : « comme il fait noir dans la vallée ! » qui montre que le poète voit la vie triste et sombre . A l’arrivée du printemps, la muse apparaît et veut l’encourager à aller mieux, la muse elle, est joyeuse et positive la vie on