Allah akbar
L’Algérie de 1830 à 1954 Conquête et gestion du problème de la citoyenneté 1830 début de la conquête 1848 intégrée à la France (3 départements au Nord , le Sud est sous administration militaire ) 1834 ordonnance : les indigènes ont la nationalité française mais pas la citoyenneté et sont soumis au code de l’indigénat ils gardent leur statut personnel fondé sur le Coran ou les coutumes berbères. L’accès à la citoyenneté est possible par demande personnelle (non automatique et perte du statut personnel) 1889 10 000 indigènes sont naturalisés. On décrète la naturalisation automatique des enfants d’étrangers européens sur le sol algérien. 1914-1918 Participation des troupes algériennes à la Grande Guerre 1 janvier 1928 fin du code de l’indigénat 1936 Ferhat Abbas considère qu’il n’y a pas de nation algérienne mais devant le refus français d’assimiler le nationalisme apparaît 1939-1945 Participation des troupes algériennes à la seconde guerre. 1944 C.F.L.N. donne la nationalité à 60 000 musulmans et admet les autres dans un collège (deuxième) en élargissant sa représentation aux 2/5 des membres des assemblées locales Les musulmans ont désormais une participation réduite à la gestion locale. Les partisans d’un meilleur statut pour les Algériens musulmans Dès 1926, sous la direction de Messali Hadj, s’est organisé en Algérie un mouvement nationaliste qui devint très puissant sous le nom de Parti du peuple algérien. 1944 La création des A.M.L. (Amis du manifeste et de la liberté) qui regroupa plus de cinq cent mille personnes. 30 avril 1945 Messali Hadj, pharmacien à Sétif est mis en résidence surveillée à Brazzaville. 8 mai 1945 A Sétif et Guelma des drapeaux algériens et des banderoles nationaliste apparaissent au cours du défilé de la Victoire. La police intervient. Une émeute déclenche la mort de 80 européens. L’armée et la garde civique de Guelma (des colons ) répriment 6 à 8000 morts Après