Travail
Accompagnement des usagers 237-226

Élisa Lévesque
Groupe 91

Présenté à Monsieur
Patrick Ouellet

École de technologie du bois de Duchesnay
Le 25 novembre 2010

L’activité se déroulait à Porneuf, du 27 au 29 septembre 2010. Il était bien important d’avoir en mains plusieurs éléments essentiels pour cette chasse. Je devais détenir mon permis de chasse aux oiseaux migrateurs ainsi que mon permis de chasse aux petits gibiers. J’avais des vêtements adéquats et camouflés, des bottes d’eau (waders), et bien sûr des munitions et une arme à feu conforme aux normes. Concernant le fusil, il n’y a rien de sorcier, un bon 12 avec un étranglement modifié qui permet un bon patronage fait très bien l’affaire. Les cartouches de no 2 et trois quart de pouces qui possèdent une bonne vélocité avec de la grenaille no 2 pour le tir au vol et du no 4 pour s’occuper des blessés seront en mesure de me permettre de me tirer d’affaire! D’abord, la chasse des canards est automatiquement associée à la présence de vastes marécages, comme ceux qu’on retrouve le long du couloir fluvial du Saint-Laurent. Donc, nous avions le décor classique, quoi!
La Première journée la technique était de se cacher dans des caches tombeaux au sol. Cette cache est faite pour la chasse de champ. On y chasse couché sur le dos le tout est très confortable, on se lève en position assise pour faire feu. Nous devions suive les marrées pour l’installation de nos appelants. J’ai trouvée cette technique très efficace seulement si nous étions bien cachés (recouvert de boue et d’herbe). Le désavantage était de suivre la marrée, elle est très rapide! Aux dix minutes nous devions déplacer nos caches et nos appelants. Au moins, c’est léger à transporter! Pour moi, il ne me faut pas vraiment sa, je risque je m’endormir!
La deuxième journée, la technique était de chasser en bateau. Un bateau Zodiac camouflé en forme de roche. Le camouflage et la couleur doivent permettre de se fondre