Alphonse boudard
A 18 ans , il entrait au maquis .L’inconséquence d’un de ses chefs fit qu’avec un copain « MUSIQUE », ils n’arrivèrent pas à l’heure au rendez vous de LA FERME DU BY en SOLOGNE . Quarante jeunes gens qui , eux , avaient dirigés , furent passés par les armes .Déjà , quelques mois auparavant , il l’avait échappé belle quand, arrêté par une patrouille allemande dans une rue de son Paris , il dut à l’absence de curiosité des soldats d’avoir la vie sauve .Ses poches étaient bourrées de tracts .Une troisième fois , alors qu’il roulait à vélo en peine campagne , une mitraillette STEN et un révolver MAUSER , dans ses sacoches , il entendit un bruit de moteur .Il se jeta dans un fossé gorgé d’eau .Un convoi militaire passa …Sa confrontation avec la mort se poursuivra pendant la Libération de Paris , place ST MICHEL , lorsqu’il se retrouvera nez à nez avec un Allemand qui avait dégainé avant lui ; l’arme s’enraya .Ce fut ensuite l’Alsace , prés de Colmar , où , le soldat des commandos de France de la première armée de de LATTRE, il fut blessé au combat ce qui lui valut la croix de guerre avec étoile d’argent. Et il eut les ravages de la tuberculose .Il en demeurera handicapé à vie sans que jamais l’humour ne