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a) Les gestionnaires doivent avant tout évaluer les circonstances nécessitant un changement dans la structure ou les activités de l’entreprise. Ensuite, ils doivent sensibiliser les employés à ce changement, c’est-à-dire identifier les inquiétudes qui pourraient inciter les employés à réagir de façon négative à ce changement et leur expliquer les conséquences qu’une renonciation pourrait apporter, car ce sont eux qui feront face directement aux modifications proposées. La théorie du champ de forces équilibrées explique bien ce problème, car certaines forces motrices, par exemple de nouvelles technologies, la concurrence d’autres groupes et les pressions exercées par les employeurs, agissent dans le sens contraires des forces modératrices, soit les normes de rendement collectives, la peur du changement et la complaisance des membres. En outre, il est important de renforcir les éléments pouvant influencer positivement les opinions sur ce changement et d’éliminer ceux qui pourraient préoccuper les employés qui s’y opposent. L’instauration d’un mouvement vers le changement doit ensuite être effectué afin de poursuivre le processus établi. Cela peut être réalisé en présentant une vision de la position à venir de l’entreprise, ainsi que des stratégies, comportements, méthodes de travail et moyens techniques à modifier. Évidemment, l’opposition de certains employés à ces modifications est inévitable. Il est primordial de reconnaître ces oppositions et d’y remédier. Plusieurs moyens sont efficaces afin d’enrayer la résistance face aux changements.
L’éducation et la communication est utile lorsque les employés ressentent le besoin de connaître la nature des changements en cours et les raisons qui les motivent. L’information sur ces facteurs peut être diffusée par des présentations aux employés, des rapports détaillés et des entretiens individuels.
La participation et l’intervention incite les employés à manifester