Ame approche du marché étranger
Les négociations de l’OMC, bien qu’elles n’aient pas abouti à Doha, tendent vers une libéralisation du commerce par l’abaissement des droits de douanes dans la plupart des pays du monde. L’ensemble des produits ont été codifiés dans une nomenclature reconnue dans le monde entier. Vos produits ont donc, en fonction de leur nature, un numéro de codification douanier qui vous permettra, en interrogeant le pays concerné, de connaître les droits de douanes qui vous incomberont pour vendre sur place ainsi que les obligations réglementaires associées. La bonne adéquation entre votre produit et sa nomenclature doit être vérifiée afin d’être certain de ne pas être pénalisé lors de votre exportation. Validez que vous êtes conforme à l’ensemble de la réglementation à l’arrivée. Avec la baisse globale des droits de douanes, on assiste à une augmentation des barrières normatives et réglementaires qui visent à protéger le marché local. Il devient alors de plus en plus fréquent de devoir fabriquer sur place une partie du produit et de n’importer que les composants essentiels.
Il est aussi pertinent de vous assurer que l’ensemble de vos concurrents sont soumis à ce même régime tarifaire, et par exemple qu’ils ne font pas partie d’un accord de libre échange qui leur permettrait d’être exonérés de ces obligations.
A ne pas oublier :
- Vérifier la bonne adéquation de votre numéro douanier
- Vérifier les droits de douanes et les réglementations sur le pays Travail n°4 : Remettre le client au cœur de vos préoccupations
Ce poncif du commerce prend une valeur toute particulière à l’international. L’appréciation de la culture de son client étranger, la perception de ses attentes sont essentielles. Vous êtes certainement très fier du produit que vous voulez vendre à votre client japonais. Lui aussi appréciera son bon fonctionnement, mais êtes vous sûr que votre produit ne présente pas le moindre défaut,