Morale : American history x.

1) La scène lorsqu’ils sont à table, raconté par Doris (la mère)
Mon mari n’était plus là mais les choses étaient presque redevenues normal. Dereck avait un bon bulot, je reprenais goût à la vie. Tout le monde se sentait tellement bien qu’on a rien vu arrivé. On aurait peut-être dû. J’aurai peut-être dû. C’est mon fils et pourtant je ne contrôlais plus ce qu’il disait et pensait, et cela depuis longtemps déjà. Je le comprenais enfin. Ces mots étaient si abrupte, plein de haine et tellement profond. Je ne le reconnaissais plus. Qu’est-ce que j’avais fait ? Mais qu’est-ce que j’avais fait pour mériter cela ? J’avais honte, honte qu’il soit sorti de mon ventre.
2) Dereck : On sent que Dereck a la haine, il n’a plus de repères depuis que son père blanc, travailleur, honnête, est tué lors d’une mission par un dealer noir. Il en veut à la terre entière. C’est alors qu’intervient Cameron, un leader d’un groupe néo-nazi qui lui fournit des « responsables » sur qui rejeter son mal être. Je pense que c’est ici que commence sa xénophobie. Dereck est un personnage changeant d'attitude au cours du film, ce qui nous laisse désorienter sur la question « est-il gentil ou méchant ? » Pour moi, sa xénophobie est comme son attitude, changeante.
Danny : Danny est un jeune à la dérive, blaser par le monde et se rattachant à son frère qui lui donne par ses idées nazies une « réponse » à son mal de vivre. Personnellement, je ne crois pas qu'il soit aussi radical que Dereck, il se persuade que le nazisme est la bonne croyance, car Dereck le pense lui. On peut donc dire que sa xénophobie ne vient pas totalement de lui, il suit le chemin de son frère en se persuadant que c’est le bon.
Cameron : Cameron est un mentor pervers qui se sert de jeunes gens influençables et en colère pour condenser son message de haine. Dans mon esprit il est le reflet d’Adolf Hitler.

3) Le premier élément est le meurtre du père qui le conduit au racisme. Ensuite le viol