1- Notre entreprise
Nous représentons la société VINO, spécialisée dans la fabrication de vins et nous envisageons de racheter une entreprise étrangère exerçant dans le même secteur d’activité que nous.

2- Pays étranger choisit

Dans notre opération de rachat, nous avons choisit de faire affaire avec l’Allemagne.

3- Les aspects interculturels

a- L’usage des langues étrangères

En Allemagne il faut savoir que la plus grande partie de la population parlent au moins une à deux langues étrangères car en étant jeunes le système éducatif les amène à voyager afin de communiquer dans d’autres langues. Il est très simple de trouver des cadres allemands parlant l’anglais ce qui pourra nous faciliter un peu la tâche dans les négociations, vu que l’anglais constitue une langue de référence à l’échelle internationale pour les affaires. Cependant le fait que nous nous exprimions tous en anglais ne règle pas le souci d’un quelconque malentendu dans nos négociations car nous n’avons pas les mêmes cultures et c’est la façon dont nous nous exprimerons envers nos partenaires qui sera la plus importante. Beaucoup de petites et moyennes entreprises allemandes exportent et travaillent avec des fournisseurs étrangers. Cet aspect explique en partie la puissance exportatrice de l´Allemagne. C´est important d´avoir cela en tête lorsque l´on fait des affaires avec des entreprises allemandes. Malgré tout, par exemple en Allemagne on se salut par la main et non par la bise comme pourraient le faire les français. Ensuite, il est primordial de noter que les allemands sont directs dans leur message et vont tout droit au but dans leur démarche, ce qui n’est pas le cas chez nous en France où les partenaires discutent de tout et de rien. Alors il faudra que nous évitions de parler d’un sujet qui n’a rien avoir avec les négociations de rachat.

b- La notion du temps

Les cadres allemands donnent une très grande importance à la ponctualité et habituellement on peut remarquer qu’ils