Analyse cognitive du sentiment amoureux
Ce sentiment amoureux vient répondre à une nécessité vitale pour la survie de l’espèce, un double besoin pour l’espèce : c’est dans un premier temps s’attacher à un partenaire qui peut avoir un potentiel de reproduction, quelqu’un pouvant transmettre des gènes de manière efficace. En deuxième temps c’est le fait d’assurer la descendance, l’attachement pour les enfants qui invite la mère à être proche de ses enfants.
Du point de vue de l’espèce, le fait d’être amoureux fait que la personne est active plus longtemps et peut être utile. Il contribue à la santé de la personne et à la conservation du bien être. Cela favorise la vie de tous les jours et l’insertion dans un groupe social.
Sentiment amoureux : la jalousie. La jalousie fait référence à l’homosexualité, car elle s’intéresse la plupart du temps au même sexe que moi. Il y a une dimension à la fois homosexuel et le fait que le jaloux ne s’intéresse pas à son partenaire qui est comme un objet. Du point de vue freudien, la jalousie peut aboutir à un comportement un peu archaïque du sujet. (Voir Barthes).
Du point de vue cognitiviste : Il y a un peu près 10% des individus qui ont une jalousie normalement obsessionnelle et du point de vue phylogénétique la jalousie ce n’est pas quelque chose d’immature. La jalousie a une fonction biologique de protection de la relation de toute intrusion et des risques de dissolution de la relation. Dans la jalousie, les psychologues ont fait le constat que les hommes et femmes sont différents.
Les hommes trouvent l’infidélité sexuelle beaucoup plus importante alors que la femme trouve que l’infidélité sentimentale est plus importante à 85% des cas. Une deuxième étude a été faite où on a prit plusieurs paramètres en comptes pour évaluer l’angoisse généré par une option. Cette étude physiologique va dans le même sens que la première. Le but