Analyse de madame de bovary

1120 mots 5 pages
Mercy Le 13 mars 2013.Maxime5B L’écriture de Madame Bovary.Introduction. Gustave Flaubert n’a pas écris Madame Bovary n’importe comment. Il a introduit dans ce récit deux grands mouvements afin de créer un livre originale.Ceux-ci sont le romantisme et le réalisme. Pourtant, ils n’ont rien de semblables en tout point littéraire. Comment Flaubert a-t-il ressenti le fait d’écrire deux styles distincts ? Pour répondre à cette question mais aussi pour prouver l’existence des deux styles, nous avons une correspondance de l’auteur entre 1852 et 1866 avec différents destinataires.Développement. « Toute la valeur de mon livre, s’il en a une, sera d’avoir su marcher droit sur un cheveu, suspendu entre le double abîme du lyrisme et du vulgaire (que je veux fondre dans une analyse narrative) » A Louise Colet. 20 mars 1852. Les mots ci-dessus soulignés prouvent bien que Flaubert a voulu faire un mixte entre les deux mouvements. Le lyrisme qui fait référence au romantisme et le vulgaire, lui, au réalisme.Quand Flaubert écrit de marcher droit, il parle évidemment de toute l’objectivité qu’il est obligé d’avoir afin de réaliser au mieux son livre. Il y a là une volonté d’écrire son livre sur deux mouvements. « Quelle chienne de chose que la prose ! ça n’est jamais fini ; il y a toujours à refaire. Je crois pourtant qu’on peut lui donner la consistance du vers, inchangeable, aussi rythmée, aussi sonore. Voilà du moins mon ambition (il y a une chose dont je suis sûr, c’est que personne n’a jamais eu en tête un type de prose plus parfait que moi ; mais quant à l’exécution, que de faiblesses, mon Dieu !). Il ne me paraît pas non plus impossible de donner à l’analyse psychologique la rapidité, la netteté, l’emportement d’une narration purement dramatique. » A Louise Colet. 22 juillet 1852. Voilà bien des exemples de ce mélange romantique et réaliste. Par exemple, il veut donner à l’analyse psychologique une narration dramatique ou bien la consistance du vers pour la prose.

en relation

  • CHRISTOPHE Barbara 4.docx
    282 mots | 2 pages
  • Le grand chatiot
    393 mots | 2 pages
  • Analyse de burquette
    752 mots | 4 pages
  • livre
    420 mots | 2 pages
  • Un jour
    640 mots | 3 pages
  • Suffit-il d’avoir raison pour convaincre ?
    885 mots | 4 pages
  • Analyse sur le texte la crise sophistique : le discours humain laissé à lui-même par jean grondin
    702 mots | 3 pages
  • Citations
    35954 mots | 144 pages
  • De la certitude
    294 mots | 2 pages
  • Analyse la boulangère
    6332 mots | 26 pages
  • Commentaire de Bachelar
    1404 mots | 6 pages
  • Français écriture d'invention
    253 mots | 2 pages
  • Navette
    562 mots | 3 pages
  • Analyse de ma boheme de rimbaud
    994 mots | 4 pages
  • fiche bac
    482 mots | 2 pages