Analyse de situation

Stage de rattrapage.

Lieu :

Lors de mon stage du 18 novembre au 20 décembre, j’étais en hôpital de jour, (HDJ) rhumatologie de l’hôpital Bichat. Pendant mon soin j’étais dans une chambre double avec monsieur X.

Situations réalisées :

Mise en place d’une voie veineuse périphérique (VVP) dont la particularité est d’être posé avec des gants stériles.

Observations, questionnements, analyses :

Les gardes veines sont prêts le matin même, je n’ai plus qu’a un prendre et préparer mon chariot. « Est ce que j’ai tout le matériel nécessaire pour réussir mon soin ? » J’ai les gants stériles à la bonne taille, j’ai des compresses, du savon antiseptique, des flacons d’eau, et de l’eau antiseptique.
« Pourquoi pas de la Bétadine ? Certaines personnes peuvent faire une réaction allergique »
J’ai aussi un champ stérile, un collecteur d’aiguille, un sac jaune et un sac noir, un garrot, des tégaderms, et des cathéters de différentes tailles.
Je ne me sens pas trop stressée en rentrant dans la chambre. Dans le service les portes des chambres ne sont jamais fermées, certains traitements nécessitent de faire beaucoup d’aller-retour. Du coup c’est vrai que sur le point de vue de l’acte infirmier qui doit être fait dans de bonnes conditions les aller-retour peuvent nous déconcentrer. « Et est ce que le fait que ce soit une chambre double peut me gêner dans mon acte ? ».

Je rentre alors dans la chambre, je dis bonjour à mon patient, lui explique que je suis une étudiante inifrmière de 2e année et lui demande si il accepte que ce soit moi qui le perfuse. «Il faut respecter le choix du patient. » il accepte sans hésitation et m’explique qu’il a l’habitude de laisser faire les étudiants. Je le remercie d’accepter et lui dit que nous avons eu l’accord du médecin pour son traitement et que nous pouvons alors poser la perfusion. Je lui demande où il préfère/ a l’habitude qu’on le pique. Il m’indique le bras gauche et me dis que ses veines sont