Analyse de theatre 15 oct
1) La scène commence avec l’arrivée d’un « seigneur » anonyme qui était déjà présent à la scène 5 du deuxième acte. Il arrive avec « des lettres de noblesse », c’est-à-dire, des documents qui conférassent un titre nobiliaire et dit à Arlequin qui lui a apporté un présent « de la part du Prince », qui est « de tous les présents le plus grand qu’on puisse faire ». A cette phrase, Arlequin de suit pense à Silvia et déjà on peut constater des éléments différents : il ne pense pas à un titre nobiliaire ou à des richesse qui, par contre, semblent être les pensées principaux des nobles mais il retient le cadeau plus précieux la femme qu’il aime ou, on peut aussi dire, qu’il croit d’aimer ; en plus, il est visible la différence entre le comportement de Silvia et celui d’Arlequin, du fait que la fille ne manifeste déjà plus aucun souhait semblable. Le seigneur répond à Arlequin qu’il s’agit « des lettres de noblesse » et il ne réagit pas comme l’homme si pensait : il refuse ce qui « fait l’ambition de tous les gens de cœur ». Le seigneur définit cette ambition « un noble orgueil » et, dans la réponse d’Arlequin on peut voir un autre élément satirique contre la noblesse. En effet, il demande si les nobles donnent « de jolis noms à toutes les sotties », c’est-à-dire, il montre comme le monde de l’aristocratie et de la cour est artificiel, comme il rente de ses masquer avec des euphémismes et noms qui cachent la réelle image des choses. Un des privilèges qu’un titre nobiliaire amène est celui du respect et l’être « plus craint de vos voisins ». A cette affirmation, Arlequin répond simplement, mais en manière plus franche de son interlocuteur : « quand je respecte les gens, moi, et que je les crains, je ne les aime pas de si bon courage », c’est-à-dire, l’être craint n’est pas toujours un signal positif, ne porte pas