Analyse de une
C’est un magazine de presse féminine qui visent les 25/30 ans majoritairement, basé sur la mode, les témoignages, la beauté ou encore le shopping, il se veut l’expert des problématiques féminines.
Le titre « COSMOPOLITAN » s’étale en haut de la couverture, alternant trois couleurs de lettres, des couleurs toutes extrêmement féminines, ça tombe bien c’est leur cible, orange, rose, rouge, et qui apportent un fort dynamisme d’ensemble à la couverture.
La typo est inchangé depuis des années et la notoriété du magazine l’autorise a tronquer son titre derrière sa photo centrale, ce que le magazine faisait dans les années 1930 et refait depuis années: Il est suffisamment connu pour être reconnu par l’ensemble de ses autres signes distinctifs, même avec un titre tronqué.
Le titre est en majuscule, ce qui amène là encore du dynamisme, avec une typo plutôt grasse qui attire l’œil sans pour autant focaliser ou détourner l’attention du reste.
Comme c’est souvent son habitude, COSMO fait poser en UNE, en modèle, la personnalité qui témoigne dans le magazine : Ici Jenifer, pose de trois quart, féminine, actuelle, sûre d’elle, à la mode, avec un décolleté mais pas trop profond tout de même : l’image de la femme cosmo.
Son chemisier reprend la thématique couleur de la une et du titre : Le rouge, ce qui donne une cohérence d’ensemble ; avec des pois blanc pour reprendre la couleur de fond mais aussi la couleur de son pantalon : Son chemisier fait un peu le lien entre tous les éléments de l’image, c’est un axe central.
Autour de la photo centrale évoluent des modules des sujets traités dans le magazine.
Certaines typos sont plus grasses que d’autres, plus fortes que d’autres, plus colorées que d’autre, suivant l’importance que représente le sujet, l’importance que COSMOPOLITAN veut lui donner.
Les couleurs rouge, rose et orange du titre sont reprises dans les différents modules, agrémentées de noir et sur un fond blanc, pour éviter