Analyse des photos "pyramide de sakkarah" et "pyramide de gizeh" de francis frith
« Pyramide de Gizeh » en 1858. Francis Frith réfléchit sur la composition de l’image qu’il réalise. Il photographie les monuments sous différents angles, toujours à la même distance et donne une échelle au réel par l’intégration de figures humaines dans l’image. C’est une manière de nous donner des références. Ces personnages possèdent comme un rôle d’accompagnement du regard vers la pyramide. En effet, à la mer comme dans le désert, on perd la notion d’échelle. On retrouve cette notion d’échelle grâce à l’ajout de l’homme dans l’image. Associer tout élément à l’homme, comme le fait Francis Frith, c’est de l’anthropomorphisme. Ces photos révèlent un sens aigu de la construction, elles sont comme une mise en place très