Dans le cadre de mon cours de français, j'ai lu une oeuvre litteraire de John Steinbeck s'intitulant Des souris et des hommes. Ce récit qui s'est déroulé dans les années 30, ne m'interessait pas au début, car il m'a été imposé. Cependant, au fur et à mesure que l'histoire progressait, mon interêt augmentait aussi. Normalement, à la suite d'une première lecture, on n'aperçoit pas les subtilités qu'il y a dans l'histoire. Pour les remarquer, il faudrait relire le texte plusieurs fois et c'est ce que j'ai fait pour ce roman.

Après avoir lu ce livre trois foix, j'ai remarqué que l'auteur utilise principalement un langage familier pour ses dialogues et qu'il enlève des syllabes. J'ai aimé son style d'écriture, même si parfois c'était grossier, ça représentait bien le millieu de vie de nos personnages. Par contre, vu que le narrateur était observateur, l'auteur décrivait juste ce qui pouvait se voir, les lecteurs n'avaient, donc aucun accès aux sentiments, aux pensées de nos protagonistes. Quand je lis un livre, normalement, je préfères quand je peux savoir ce que les personnages pensent, vu que c'est plus facile pour moi je me mettre à leur place. De ce point de vue, c'était, donc un aspect négatif pour moi. Dans le roman, la violence était omniprésente et toute les meurtres, les cruautés étaient raconté d'une façon plutôt neutre, comme dans la dernières scène, quand George tue Lennie. Quand Lennie fut tué, les sentiments de George n'était pas montré de façon direct, j'ai donc cru que George avait fini par trahir Lennie. Pourtant, après une certaine reflexion, j'ai compris pourquoi George a commis ce meurtre. George savait que si c'était Curley qui retrouvait Lennie avant, il l'aurait torturé avant de le tuer et il n'aurait pas supporté cette scêne. Afin de lui épargner les douleurs supplémentaires, il a pris la décision de le tuer lui-même. Malgré tout, avant de tuer Lennie, il avait prit le temps de lui raconté leur rêve, la vie qu'ils voulaient avoir ensemble,