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Commençons par analyse l’environnement grâce au modèle PESTEL. D’un point de vue politique, on peut remarquer que tout les gouvernements, dont le gouvernement Canadien, ont pris un grand virage vert ces dernières années (exemple : conférence de Kyoto ou les décisions prises en France par rapport aux PPP) et ceci peut être une opportunité. Économiquement, la hausse du prix du pétrole et l’inflation sont deux facteurs qui peuvent constituer une autre opportunité pour cette industrie. D’un point de vue sociologique, le développement de l’esprit vert (recyclage,…) et la hausse du nombre de personne âgés (qui souvent ne peuvent pas conduire) est un atout pour l’industrie mais l’augmentation de l’esprit méfiance (plan Vigipirate) peut être considérée comme une menace. D’un point de vue technologique, l’augmentation du nombre de voiture « propre » (hybride par exemple), l’amélioration des transports en commun sont des menaces pour l’industrie. Passons à l’aspect environnemental, les problèmes liée aux puits de pétrole (exemple : BP), l’envie d’un rétablissement du taux de CO2 à un taux correct ou encore le réchauffement climatique peuvent être considérés comme une opportunité. Finissons pas le légale, le souhait du développement d’outil fiscaux pour aider les entreprises vertes du gouvernement Québécois (crédit d’impôt pour véhicule éco énergétique) ou le programme d'aide gouvernementale à l'amélioration de l'efficacité énergétique pour le transport routier des personnes peut-être considéré comme une opportunité. Passons à l’analyse des 5 forces de la concurrence. Le concept est assez nouveau et pour le développer, un capital élevé n’est pas requis. Donc malgré le faite que le nom de marque de Communauto est fort dans l’industrie, la menace des entrants potentiels est très élevée. Le pouvoir de négociation des fournisseurs est faible puisque les entreprises dans ce secteurs achètent des voitures en grande quantités et peuvent se servir chez n’importe qu’elle