Analyse film Pot-Bouille
Le fil conducteur du film est l'immeuble où réside Octave Mouret. Dans l'immeuble, on peut y voir des Atlantes, qui sont des statues d'hommes servants à soutenir à la place d'un pilier et des flambeaux. On remarque aussi les tapis sur les escaliers. Tout cela représente un faux luxe.
→ Voir document ci-contre. Dans le texte, il y a une personnification de l'immeuble, par exemple Zola utilise « La colonne vertébrale » pour parler des escaliers. C'est une maison de rapport, c'est à dire un immeuble divisé en plusieurs logement loués par différents locataires. Grâce au dessin de Lavielle, « Les cinq étages du monde parisien », nous allons voir comment sont répartis les classes sociales dans une maison de rapport. Rapide description des étages du dessin
Premier étage : L'appartement est habité par des bourgeois, on peut y voir des rideaux de luxe, un lustre, des tableaux, une belle cheminée, des tapis, peu de personnes dans beaucoup de place.
Deuxième étage : Il est aussi habité par des bourgeois mais moins riches que ceux de l'étage du dessous. On peut voir que l'appartement est moins décoré, plus petit, qu'il n'est pas éclairé et surtout qu'il y a beaucoup de personnes qui y vivent.
Troisième étage : Les appartements sont aussi décoré que celui du deuxième étage mais ils sont coupés en deux.
Quatrième étage : Le dernier étage est composé de trois appartements non décorés, pas éclairés, avec une seule pièce par appartement, des couloirs étroits.
Les deux derniers étages sont habités par des gens modestes voir pauvres qui essayent d'appartenir à la petite bourgeoisie.
A cette époque, à chaque jour de la semaine, on reçoit des personnes chez soi en organisant une petite réception.
→ Texte « Pot-Bouille » de Zola.
Sur la première page, Zola fait d'abords une description extérieure du bâtiment puis une description