Analyse final pourquoi j'ai mangé mon pere
Plusieurs archéologues ont des opinions différentes quant à la théorie de l’évolution de l’humanité. Par contre, plusieurs s’entendent sur le fait que la maîtrise du feu était d’une importance capitale à l’époque de la préhistoire. Dans le texte qui suit, nous expliquerons l’importance du feu dans le roman d’aventure humoristique Pourquoi j’ai mangé mon père, écrit par Roy Lewis. En premier lieu, nous traiterons de deux aspects positifs du feu qui sont l’amélioration de leur santé et leur protection. Puis, nous poursuivrons avec les deux aspects négatifs : les incendies et l’égoïsme.
Tout d’abord, nous allons démontrer l’importance du feu, dans le roman, en examinant deux effets positifs de celui-ci auprès des personnages quant à leur alimentation et leurs moyens de protection. En effet, la tribu se sert du feu pour faire cuire leurs aliments. Cela est possible, en partie, grâce à la mère qui a mis le feu sur une grosse bûche en ne se rendant pas compte que Bobosse, le cochon, s’est ligoté lui-même sur cette bûche. Elle l’a donc brûlé vif. La cuisson des aliments est une découverte idéale pour la famille préhistorique, car elle leur permet de passer moins de temps à mastiquer : «À peine s’il fallait encore mastiquer sérieusement. La puissance élastique d’un muscle strié qui avait imprimé à un gnou de trois cents kilos une vitesse de quatre-vingt à l’heure, vous fondait littéralement sur la langue.»1 Comme la famille passe moins de temps à mastiquer, les membres ont évidemment plus de temps à consacrer à autres choses. Par exemple, Oswald fait des plans de chasse, Édouard, le père fait des expériences et Ernest, le narrateur, fait de l’observation et une analyse de ce qui se passe. De plus, le feu est un élément positif dans le roman, car il permet à la tribu de se protéger non seulement du froid, mais des prédateurs qui partagent la jungle. Durant la lecture, nous avons pu constater qu’un des oncles, nommé Vania,