Analyse germinal - chapitre 2, partie 2
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Dans ce deuxième chapitre, de Germinal, Zola persiste à nous démontrer les besoins et les réalités des corps que chaque mineur, membres de familles doivent traverser. Premièrement, Zola introduit le monde d'une famille (Les Maheu) ou l'hygiène n'existe pas du tout. Bien que cette histoire fut placée dans une période de l'histoire ou l'hygiène n'existe pas au point dans des conditions ainsi, Zola persiste à nous montrer cela à travers le passage avec des indicateurs tel que "les continuels lavages de savon noire." (Bas de la page 59). Une hygiène non existante qui est renforcé par le manque d'intimité et l'espace clos des Maheu. "On vivait coude à coude, d'un bout à l'autre; et rien de la vie intime n'y pas restait caché, même aux gamins." Deuxièmement, un autre besoin naturel des corps que Zola présente et cette impression de famine qui se trouve non seulement chez les Maheu, mais probablement chez d'autres familles. Par exemple, en bas de la page 66, La Maheude cria qu'ils devaient prendre "tout le pain" car elle avait "un peu de vermicelle pour les enfants." Ceci nous montres le sacrifice que la mère (Maheude) entreprend pour les membres de la famille qui vont travailler en leur donnant tout son pain pour qu'ils 'survivent' la journée. Par ailleurs, cet aspect de famine nous êtes montré avec le peu de nourriture qu'ils restent chez eux, comme les petites portions de vermicelles pour les enfants seulement. Troisièmement, il y a aussi le manque de fatigue nous êtes clairement illustré à travers le chapitre, quand chaque membre de la famille lutte pour se réveiller. "...pendant que ses yeux gris pleuraient de sommeil combattu." (page 59). A travers cette citation, Zola arrive à démontrer le peu de sommeil que le corps humain subi dans de telles conditions et le combat de chaque jour pour se lever tôt le matin pour accomplir une journée dans les mines. Un sommeil profond peu présent qui dégrade surtout à la santé de la famille et ces