Analyse jacques le fataliste
Analyse du texte de la page 92 à la page 99
Jacques à cheval, était sur le point de reprendre l'histoire de son capitaine, qui fût interrompue plus tôt et dont son maître était impatient de connaître la suite.
Cependant le voyage connait une nouvelle péripétie et par conséquent le récit s'en trouve coupé une seconde fois. En effet, pour la seconde fois le cheval de Jacques le dérive de son chemin premier et le mène tout droit aux fourches patibulaires.
Après ce positionnement dans le contexte de l'histoire sans suit une première partie constitué d'un dialogue entre Jacques et son Maître.
Suite à cette réitération du cheval, Jacques se demande si cela est un avertissement d'un destin de mort proche. Mais en contradiction à son habitude Jacques ne se fie pas à « (...)ce qui est écrit là-haut(...) » il en doute (car se pose la question). La philosophie fataliste habituellement défendue par Jacques s'en trouve écartée et mise en cause par celui-la même. Alors que son maître, lui, qui est habituellement contre cette philosophie, paraît persuadé que en effet ceci est le signe d'un destin irrévocable, « (..) n'en doutez pas(..) », « (..)l'arrêt du destin prononcé deux fois par votre cheval s'accomplira (...)».
Les rôles d'opinion sont ainsi inversés.
De plus cette attitude du maître est inhabituel, il apparaît comme insensible à cette destiné, alors qu'on a pu remarquer auparavant que le maître ne pouvait vivre « (...)sans sa montre, sa tabatière et sans Jacques (...) ». En effet, ici à ce moment précis du récit , le maître ne désire qu'une chose, que Jacques arrête de se lamenter et surtout qu'il continu de conter l'histoire de son capitaine, avant qu'il ne décède.
Le maître en arrive à un point où il prend même les devant ; et pardonne Jacques de tous les vols qu'il aurait pu commettre, avant même que Jacques n'ai pu dire un mot.
Ici, le maître est même près à rabaisser son honneur car si