La Renaissance française est la période qui touche toute la période du XVI siècle. La Renaissance est une époque très importante, car c’est à se moment où il y a eu des changements majeurs. Par exemple, la naissance de la science, de l’art et surtout la naissance de la poésie. La poésie est formellement liée au progrès de la langue française. C’est donc avec l’aide d’un groupe de sept poètes appelé La Pléiade que la langue française s’enrichit davantage. Le principal but de ce groupe est d’accroître la langue française pour ainsi faire évoluer la poésie. Celui qui gouverne La Pléiade est le célèbre Pierre de Ronsard. Parmi les sept poètes, il y en a un, après Pierre de Ronsard, qui se démarque grandement. Celui-ci a écrit «un manifeste littéraire qui rassemble les idées de La Pléiade qui vise à faire de la langue française la langue poétique». Cet homme qui est monsieur Joachim Du Bellay (1522 à 1560) a publié un recueil, «Olives», qui contient 50 sonnets et qui est inspiré de l’auteur italien Pétrarque. L’analyse qui suit approfondira l’un des poèmes que contient ce recueil, «Déjà la nuit en son parc amassait…», dans le but d’en ressortir les thèmes principaux et les procédés d’emphase. La nature, la naissance de l’aube et l’arrivée de la femme aimée sont des thèmes qui seront notamment étudiés.
Ce sonnet présente l’apparition d’une étoile qui se démarque par sa beauté et son comportement. Cette étoile est en fait une femme idéalisée qui provoque l’amour du poète envers elle. Celle-ci est tellement belle qu’elle provoque la honte du jour.

Le premier et le deuxième quatrain traduit bien l’arrivée omniprésente de l’aube. Du Balley parle d’abord de la nuit qui s’installe tranquillement. Dans ce premier quatrain deux lectures sont possible. On peut tout d’abord croire que « les étoiles vagabondes » (V.2) sont des vraies étoiles ou bien que se sont des femmes. Lorsque que nous lisons la suite du sonnet nous pouvons confirmer que « les étoiles vagabondes » (V.2)