analyse marcel proust un amour de Swann
La Madeleine, p 100
Madeleine -> nom propre -> Unique
Madeleine -> nom commun -> déchet de l’expérience
Proust utilise d’abord la majuscule, puis la minuscule.
Le plaisir ne vient pas de manger la madeleine avec du thé. Il ne sait pas d’où vient ce plaisir.
Proust est fidèle aux évenements, il avance lentement et essaye de décrire ce qui se passe puis corrige. Il voit les apparences, il nous invite à le suivre dans un chemin où la vérité est dévoilée peu à peu.
L’intelligence veut savoir d’où vient le bonheur. Il boit et il arrête de sentir l bonheur. Donc s’était en lui. L’univers de Proust est un univers de signe.
Elle agit en lui comme l’amour.
Puis il corrige : « n’est pas en moi, est moi » -très proustien, il corrige, car l’erreu mène à la vérité. la vérité n’est pas dans l’objet, mais est en moi. L’objet l’a simplement éveillée.
La beauté de cette joie s’impose avec évidence. ‘œuvre d’art s’impose avec évidence.
Il fait ensuite appel à la mémoire volontaire. Il nous explique comment créer une œuvre d’art.
Il essaye de re-créer la situation pour faire ressurgir le sentiment, c’est la mémoire volontaire. Ceci est le travail del’artiste. C’est un effort volontaire. La 1ère fois c’était involontaire. L’artiste veut mettre à jour son vécu.
Cette description d’une madeleine : « grassement sensuel… », le style rend cette image nécessaire. Elle est décrite comme une coquille Saint-jacques.
Le drame du couché, p.61
L’origine de la souffrance est l’absence du baiser parce qu’il y a Swann
Commence par un portrait de Swnann, pui un portrait des tantes
p.73 drame du couché
Les tantes sont vieilles fills et n’ont pas d’esprit.
L’enfant est là, il veut le baiser. Il écrit à sa mère mais ça ne marche pas. Il soufftr mais Swann ne sait pas qu’il le fait souffrir tout comme personne ne sait que grand-mère souffre ( pck grand-père boit ).
La souffrance que l’enfant ressetn est la même qu^à resseti Swann avec