Analyse moleculaire de la cellule
Introduction : La cellule d’homo sapiens est diploïde : 2n46 chromosome (X ; X) ou (X ; Y). Elles dérivent toutes du zygote (= conceptus) qui possède un génome spécifique. Elle contient des organites (=macrostructures subcellulaires) : REG, REL, appareil de Golgi, mitochondries. Elle contient aussi un noyau et elle est entourée par une membrane plasmique. Elle a la capacité de se diviser via 2 processus, la mitose et la méiose. Elle a aussi le pouvoir de se multiplier ce qui fait qu’il a des cancers.
Dans le corps humain on retrouve une entité qui n’est plus vraiment considérée comme une cellule de part sa constitution : c’est l’érythrocyte (= globule rouge) car il ne contient pas de noyau, presque pas de REG et de REL et quasiment pas de vésicules. Cela résulte d’un bémol au cours de l’ultradifférenciation cellulaire.
L’identité cellulaire : les cellules eucaryotes comprennent 2 types de matériels. Le matériel génétique est à 99% dans le noyau. Il est définit par une formule chromosomique qui permet de classer homo sapiens chez les hominidés primates (depuis 2005 classification internationales) la majorité du génome = le nucléaire : 3.4Gpb. Les chromosomes sexuels sont appelés gonosomes. Les 44 autres sont des autosomes, ils sont homologues, un vient du père l’autre de la mère. On a donc 2 jeux de chromosomes : la femme qui a la paire XX possède donc des chromosomes homologues et l’homme qui possède les chromosomes XY a un couple hétérologue.
20% des régions régulatrices des chromosomes sont les régions codantes. Il y a aussi des régions de structures, comme les télomères qui permettent de protéger l’ADN et qui permettent la réplication de la molécule d’ADN. Le centromère quant à lui permet la liaison du bras p et du bras q ainsi que la reconnaissance des homologues et la séparation des chromatines lors de la mitose.
Les 80% restant = régions intergéniques et introniques, elles participent à la diféreciation des chromosomes.
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