Analyse sémiologique de philip hamant
Dans la nouvelle Le Horla 1887, le narrateur est le héros du journal intime. A fin d’étudier sa psychologie, on suivra une méthode tracée par Philip hamant qui se pose sur des fondements isotopiques de plusieurs champs sémantique. Dans cette nouvelle, le personnage est embrayeur, il est abordé comme étant un signifiant discontinue, c'est-à-dire accompli/ inaccompli, monologue/ dialogue, cliché/image, surtout avec les marques textuelles qui le distingue « je rentre », « je suis guéri », je suis repris ». Ainsi, Philip Hamant donne un statut au personnage à travers trois champs analytiques. Le premier champs est fait par apport a l’être du personnage, il le considère comme un contrat de lecture, qui donne envi au lecteur de la terminer, un suspense qui accompagne le déroulement de l’histoire dés son début, c’est ce que Hamant appelle « topos », ce dernier est inconnu, c'est-à-dire que le lecteur peut avoir un minimum d’information sur le narrateur et un second « topo » de dévoilement, dans Le Horla , ce dévoilement consiste l’état psychique de narrateur qui se dégrade au fur et a mesure. Il existe un second dévoilement dans cette nouvelle qui consiste l’être invisible qui se dévoile et devint visible dans ce cas on est face a deux isotopies contradictoires le visible/ l’invisible.
La description explicit du portrait du narrateur est inexistante (vêtements etc.), cependant, on peut déduire le statut social du personnage selon ses propos concernant sa vie, c'est-à-dire que sa possession d’une demeure, ayant des domestiques, se permet des voyages dans plusieurs endroits, nous permet de dire que le personnage est d’une classe sociale aisée. Dans la nouvelle, le coté biographique, tel qu’il est préconisé par Philip Hamant, est présenté par l’aspect descendant où le narrateur s’attache a la terre de ses ancêtres « j’aime ce pays, et j’aime y vivre, parce que j’y ai mes racine, qui attachent un homme a la terre où sont