Analyse_theme_parole
Sujet : 2
Le courant littéraire canadien-français voit le jour vers la fin du 18e siècle. Cette époque n’est pas florissante pour la littérature québécoise car, les Canadiens-français subissent un changement de régime. Cependant, la crise économique de 1929 affecte tous les habitants de la planète et plusieurs gens commencent à manifester leurs mécontentements envers le gouvernement du Canada par plusieurs manières. Notamment, La Bolduc est reconnue pour avoir été la première chansonnière du Québec à avoir rédiger plusieurs chansons sur la récession. Aussi , le poète Jean Narrache est connu pour être un militant pour les revendications sociales durant les années de la crise. Nous allons analyser le thème de la parole dans le poème «J’parl’ pour parler » , de Jean Narrache , et dans « La chanson du bavard » , de la Bolduc. Dans le texte qui suit , nous allons étudier le poème « J’parl’ pour parler » et puis ,«La chanson du bavard » .
Tout d’abord, le poète Jean Narrache parle en faveur des gens pauvres. En répétant la phrase « J’parl pour parler » , il veut dire que personne ne veut entendre la voix des pauvres. Prenons cet extrait suivant :«J’parl ’ pour parler pas rien qu’pour moi,/Mais pour tous les gars d’la misère ;/C’est la majorité su’ terre./J’prends pour eux autr’s, c’est ben mon droit. » Avant tout , on peut dire ce n’est pas un révolutionnaire. Il utilise la tonalité tragique car, il est tanné de répéter sans cesse ces revendications pour le peuple. Le poète adopte le langage populaire pour démontrer qu’il fait partie du peuple malgré sa notoriété. Il dénonce la situation sans crier pour attirer l’attention de la minorité de riches. On peut constater qu’il y a une métaphore dans la deuxième vers de la deuxième strophe. Il aurait pu dire que ce sont des gens pauvres tout simplement. Aussi, le poète a une rancune envers le gouvernement. Il exprime sa façon de penser comme dans cet extrait suivant : « Parc’ que moi