Analyse d'un essai: la tyrannie de la communication
Pour être honnête, au départ je ne savais pas quel essai choisir. Je suis donc allé voir dans la liste que madame Thirion nous proposait. J’ai parcouru la liste et puis un titre m’a sauté aux yeux : no logo la tyrannie des marques. Ce titre m’a intrigué, je suis directement allé voir sur internet le résumé et celui-ci m’a paru très intéressant. Le fait que l’auteur parle de la manipulation du branding et des multinationales m’intéressait davantage. Je me suis donc renseigner sur l’auteur. Naomi Klein est née en 1970 à Montréal. Elle débute sa carrière de journaliste au Toronto Star, où elle publie des articles sur le monde du travail et sur le marketing. Cinq ans plus tard, elle devient reporter indépendant et s'intéresse notamment au caractère prédateur de la publicité dans nos sociétés. Elle vit actuellement à Toronto, où elle est journaliste au Globe and Mail. " (au dos du livre No Logo par Naomi Klein – 2001 – Actes Sud.
Contexte :
No Logo sort dans sa version originale en 2000, au terme d’une décennie marquée par la montée en puissance de la mondialisation libérale, les fermetures d’usines et la dégradation des conditions de travail dans les pays du Nord, la multiplication des sweatshops(endroit où on exploite la main d'œuvre) dans les pays du Sud, et une véritable colonisation de l’espace physique et mental des individus par les marques. Pour Naomi Klein - journaliste canadienne - ces éléments constituent les pièces d’un seul et même puzzle qu’elle entreprend de reconstituer, en attachant une importance toute particulière aux marques. Dans un système économique mondialisé, avec des multinationales(Une multinationale ou transnationale1 est une entreprise implantée dans plusieurs pays par le biais de filiales(Entreprise dont le capital est contrôlé par une société mère) dont elle détient tout ou