Au 18e siècle en France, suite à la mort de Louis XIV le peuple a commencé à rêver d'être libre, égal à son confrère mais aussi un rêve où les richesses, l'argent et les ressources sont distribués à part égale. Point tournant de ce siècle fut bien sûr la Révolution Française de 1789 qui causa entre autres l'abolition de la monarchie absolue. La venue de Napoléon Bonaparte au pouvoir en tant qu'empereur de France en fait sourire beaucoup de personnes aussi cela amène l’espoir d’une meilleure vie. Malheureusement, ce sourire ne dura que 10 ans, jusqu'à la chute de celui-ci qui fut vaincu à Waterloo par l'armée du Duc de Wellington. Suite à cette grande défaite le désespoir s'empare du peuple. Certaines poètes commencèrent à écrire et c’est a travers la poésie qu’ils expriment leur mal du siècle du a cette grande désillusion, aussi appelé « Le spleen ». A travers des vers, de rimes et des strophes ces poètes font sortir leurs malheurs et les partages avec le monde littéraire. C'est alors que le symbolisme apparut avec Charles Baudelaire qui a écrit « Les Fleurs du Mal » en 1858. On peut dire bien sûr qu’il est le précurseur du symbolisme. Dans ce recueil poétique Baudelaire nous fait partager le drame qui se joue en lui et aussi la souffrance et la fatalité du péché. A la page 79 de ce recueil on retrouve le poème intitulé « Le Poison ». Celui-ci nous fait part de son monde à lui qui englobe son paradis artificiel et la femme. En premier lieu son paradis est constitué de l'alcool et de la drogue et en deuxième partie il écrit à propos de la femme et sa perception par rapport à lui, l'inspiration qu'elle réveil chez lui et aussi la femme un amour fatal.
D’une part, le vin chez Baudelaire fait partie de son paradis artificiel. Celui-ci s’en sert pour améliorer son sort et apaiser son « spleen ». Au vers 1 et 2 « Le vin sait revêtir le plus sordide bouge / D’un luxe miraculeux » on peut voir qu’à travers la personnification du mot « revêtir » qui a comme premier sens