Andromaque
Tout d abord on remarque qu'a la première strophe le personnage se rend compte que c'est une hallucination et plus précisément une illusion d'optique. L'auteur met en avant cette hallucination par la couleur du miroir , une sorte d'hypnotisme et la facilité à le regarder. C'est pourquoi il emploie le vocabulaire du fantastique tel que « hallucination », « imaginaire », « doute », et « hypnotisme ». A ce moment du récit il est capable de raisonner. Ensuite dans la deuxième strophe le personnage bascule dans la folie, il devient fou. Pour le personnage les fous ne sont pas à plaindre, cité dans la nouvelle. Il n'est plus dans la réalité c'est pour lui désespérant. On remarque alors le vocabulaire de la tristesse tel que « pleurer », « absence », « désespoir », et « triste ». Enfin l'auteur nous incite à penser que le personnage se laisse tomber à l'eau en croyant tenir dans ses bras l'Ondine alors que c'était en réalité le miroir . et meurt dans la rivière comme dans la phrase « Des mariniers avaient repêche son cadavre, retenu assez long temps au fond de l'eau par le poids d'une feuille de plomb qu'il serait dans ses bras contre sa poitrine, doucement et infiniment ». L'ambiguïté du miroir verdâtre et de l'étang est maintenue jusqu'à la fin. Au début du récit le personnage se voit avec une face de noyé, la teinte verdâtre nous fait penser à l'eau d'un étang puisque tout au long du récit Cela nous laisse croire qu'il n'y a pas de fin heureuse.
Part conséquent, l'auteur désire qu'on s'interroge sur cette fin heureuse ou malheureuse. Par