Angela bucaro design 18/20
Les faiblesses :
-Coûts de production
La main d’œuvre canadienne coûte plus cher que dans plusieurs pays moins industrialisés. D’autant plus que les salaires augmentent dans les grands centres urbains, cela pousse les entreprises à s’installer dans d’autres régions. De là découlent des frais de déménagements et des frais de livraisons plus élevés. Aussi, comme je l’ai déjà mentionné, le manque de technologies nui à la rentabilité des manufacturiers canadiens.
-Opposition entre créateurs et manufacturiers
Il existe une opposition entre les créateurs et les manufacturiers. En effet, des chiffres datant de 1988 nous disent que parmi les 1000 principaux producteurs de vêtements canadiens, 90 % ne fabriquaient pas leur marchandise à partir de designs originaux canadiens. Cela a pour conséquences de limiter grandement les exportations et par le fait même, la croissance des entreprises.
-Obsolescence technologique
Un retard technologique afflige autant les fabricants de vêtements que les producteurs de fils et tissus.
Dans un premier temps, le manque de technologie moderne rend les producteurs textiles incapables de livrer une marchandise compétitive, tant au niveau du coût que de la qualité face aux producteurs européens. Cela pousse les fabricants de vêtements canadiens à s’approvisionner à l’étranger, malgré les frais de douanes élevés.
En ce qui a trait à la fabrication de vêtements, le problème découle du fait que les entreprises se sont longtemps concentrés sur la production de vêtements bas de gamme, en utilisant une main d’œuvre immigrante peu qualifiée. L’émergence d’une nouvelle concurrence, celle de pays où les salaires sont peu élevés, a aboutie à la fermeture de plusieurs entreprises canadiennes. Des techniques de production plus modernes auraient pu les aider à contrer ce problème.
Les dangers :
-Concurrence
Les manufacturiers de vêtements québecois font face à une féroce concurrence. D’abord,