Animaux de compagnie
Les grands Prédateurs (Loups, Ours, Lynx)
Les grands prédateurs doivent être rigoureusement protégés pour des raisons éthiques et parce que ce sont des espèces « clés de voûtes » de biodiversité. Partout où ils ont été exterminés on a constaté une dégradation de la faune et de la flore, faute d’une régulation écologique dans les différents écosystèmes. Leur présence est contestée par quelques ruraux au nom de la défense du pastoralisme. Nous proposons de conditionner les subventions destinées à l’agriculture de montagne à la garantie du respect des grands prédateurs dans notre pays.
Les animaux de compagnie
L’acquisition d’un animal de compagnie se doit d’être un acte réfléchi. L’animal n’est pas un jouet que l’on peut jeter à la poubelle une fois l’engouement passé. Est-il besoin de rappeler que l’animal est un être sensible capable de ressentir la souffrance (maltraitance, stress…). L’excès d’offres d’animaux domestiques entraîne une surcharge des refuges (incapables de faire face à des abandons incessants), des euthanasies de convenance massives, de multiples actes de sadisme sur les chats « libres», la création de fourrières commerciales et un trafic d’animaux en direction des laboratoires. Afin d’améliorer cette situation dans un premier temps et d’y mettre un terme en finalité, nous proposons : . L’instauration d’une politique de stérilisation à destination aussi bien des animaux errants que de ceux proposés à l’adoption. Son financement pourrait être assuré dans le cadre d’une étroite collaboration entre les pouvoirs Publics, les associations de protection animale et les grands fabricants de produits animaliers. . Une campagne de stérilisation (spots-télé, plaquettes d’info) avec une aide incitative : baisse de la TVA sur l’acte et crédit d’impôts à hauteur du coût de la stérilisation. . La création, voir la multiplication des structures urbaines (parcours canins et ouverture d’espaces réservés à la libre circulation dans les