Annelies
Dans mon premier article, il s’agit du sumo qui trouve son origine en Japon et c’est surtout un sport pour les hommes. Avant de commencer au sumo, on fait des rites religieux. Aujourd’hui, le sumo traverse la plus grave crise de son histoire. Derrière la façade respectable du sport national se cache un monde trouble où la violence est apparemment monnaie courante. En 2007, il y a eu des affaires de drogue et d’extorsion d’un jeune apprenti. Les yakuzas, ce sont les mafias japonaises qui influencent les jeunes, parce qu’ils sont les plus vulnérables. Ils les invitent dans des restaurants et les lutteurs pauvres n’ont pas beaucoup d’argent, donc ils sont tentés par le jeu. Les yakuzas disent qu’ils peuvent gagner beaucoup d’argent par participer à des paris clandestins. La télévision a découvert qu’elle a participé à une opération de communication entre le gang et leurs membres, sans le savoir. Les liens entre yakuza et le sumo existaient déjà avant la Deuxième Guerre mondiale. Beaucoup de lutteurs obtiennent de l’argent de leurs parrains pour compenser leurs maigres revenus et pour les encourager à s’entraîner davantage.
Résumé de l’article “Le doux mirage de la lutte antidopage”
Dans mon deuxième article, un ancien médecin de la Grande boucle pose un constat sévère sur les contrôles antidopage et ceux qui les organisent. Il y a des protocols pour contourner les contrôles. Par exemple, un piqûre n’est plus indécelable après trois jours. Les sportifs sont injectés en micro-doses. Donc Lance Armstrong, Basso et Puerto pouvaient être négatifs, mais ils avaient peut-être utilisé l’EPO. Malgré l’amélioration des contrôles, les dopeurs ont une longueur d’avance. Ce n’est sûrement pas la naïveté, ils savent très bien ce qui se passe. Mais certains se font quand même prendre. Ils se trompent de dosage, on mélange les poches de sang. Ce sont de mauvaises manipulations. La plupart des dopeurs reviennent après une affaire