Antibi
Préliminaire
Pas une critique de certains enseignants. Tout un système à remettre en cause. Enseignant coupable et victime. Objectif : diminution du nombre d’élèves en échec, amélioration des relations professeurs – élèves.
Intro
Débats sur l’échec scolaire et la diminution du nombre d’étudiants en filière scientifique. Solutions mises en place mais toujours autant d’élèves en échec.
Notion de difficulté n’a de sens que par rapport à un niveau d’exigence et surtout dévaluation. Si un certain pourcentage d’élève n’est pas en échec, l évaluation est considérée comme anormale. => Proportion constante d’échec. Constante macabre.
Matière scientifique plus difficiles=> étudiants attirés par d’autres filières.
Rencontre avec des personnalités de haut niveau, des « décideurs » mais rien ne change. Comme incontournable, irrémédiable. Exclusion peut contribuer à un climat de violence.
Chapitre 1 : constat
Elèves principales victimes. Plus ou moins consciemment les notes sont étalées. Si aucune notes inférieures à 12 sur 20. 1 ère fois accident. 2eme : sujet trop simple, professeur trop gentil, démagogue qui ne traite pas le programme convenablement. Personne ne pensera que c’est dû à la compétence du prof, son aptitude à motiver les élèves.
Pour bcp d’élèves, forme d’injustice, destinée d’avantage à classer les élèves qu’a évaluer leurs connaissances. Notes établit selon la courbe de Gauss. * Avec un type d’évaluation plus précis, par objectifs clairement définis, la répartition des notes n’a aucune raison de suivre la loi de Gauss.
Obstacles sont nécessaires pour s’approprier de nouvelles notions. Il ne faut pas confondre situation d’apprentissage et situation d’évaluation. Evaluation = test des connaissances acquises et pas la faculté à surmonter en temps limité de nouveaux obstacles.
Phénomène perceptible dans d’autres matières que les maths. Mais quelques exceptions dans des matières considérées peu importantes