APAS
Blessure : tissulaire et psychologique.
Rééducation : Réparation tissulaire. En communication et coordination avec l’équipe de réhabilitation.
Réhabilitation : minimiser les pertes. On va dresser des objectifs et planifier les choses.
Reprise : on dresse des objectifs communs et on détermine les délais (permet de reprogrammer la reprise).
Sportif, médecin, kinésithérapeute, entraineur, préparateur, éducateur APA, psychologue… effet de complémentarité. (importance d’une culture médicale).
Retour à la compétition ? Lorsqu’a la fin du programme de réhabilitation, il reproduit le geste lésionnel. Réussir ce geste lui permettra de ne pas appréhender.
I. Les bases de la réhabilitation :
Syndrome de déconditionnement
Syndrome aigu du désentrainement
Vertiges, maux de têtes, angoisse, anorexie…
Sports aérobies
10 à 30 jours après l’arrêt de l’entrainement.
Prévention : activité régulière à 30% intensité max.
Altération de l’aptitude aérobie
Plus le niveau de VO2 max est élevé au départ plus on le perd rapidement.
Objectif de la réhabilitation dans un premier temps : limité cette baisse.
8% en 3 semaines, 18% en 3 mois, baisse de l’activité enzymatique (cycle de krebs), vascularisation diminue du fait de l’inactivité
Augmentation de la FC de repos
Conservation des capacités aérobies : au moins 3 séances/semaines à 70% VO2 max
Durée de remise à niveau = 2 fois la durée d’arrêt.
Perte musculaire
Plus importante si l’immobilisation est stricte
L’entretien musculaire diminue l’amyophie. (électrostimulation, isométrique, vibration tendineuse).
Plasticité typologie musculaire (modification des fibres musculaires, fibres lentes rapides et intermédiaires). Les fibres rapides sont perdues en premier.
Aspects techniques
« technopatie »
Correction du geste a risque
Travail proprioceptif spécifique (repère des articulations dans l’espace)
Aspects psychologiques et