Appel aux autorités
Mais non, ce n’est pas vrai. Oui, il a plu mais plus que les capacités de nos infrastructures. Les citoyens modestes que se soit des anciennes villes, des villages ou des douars ont connu des catastrophes naturelles mais aussi humaines.
L’effluent de l’eau face aux capacités infra-structurelles était énorme ce qui a condamné des maisons et des bovins à se noyer. Dans les campagnes, les citoyens ont connu l'effondrement et la fissuration de leurs maisons conclu par un vagabondage, les petits et moyens agriculteurs ont eu d’énorme pertes.
Les autorités, au lieu de leur offrir des aides effectives, ont choisi de soulager les barrages et donc d’augmenter la malaise des pauvres, elles leur ont construites des tentes au lieu des maisons, les pensions n’ont pas dépassé les 3, 4 millions de centimes pour les défunts sous les gravats ou les paysans.
Même les grandes villes ne sont pas échappées des inondations, non juste de la pluie mais des égouts.
Pour ces problèmes, il faut poser la question aux autorités sur le rôle des responsables chargés de la sûreté du citoyen.
Où est le rôle des sociétés de la distribution d’eau et d’assainissement surtout celles de la gestion déléguée qui viennent à notre pays pour plaindre leurs poches et repartir, le rôle des ingénieurs chargés de la qualité de l’habitat…
A l’ombre de toutes ces souffrances et avec l’augmentation des prix surtout des légumes, on trouve que les marchandises de bonne qualité sont exportées à l’Europe par les investisseurs agriculteurs – qui bénéficient des dividendes et qui ne passent même par le marché – alors que le pays connaît toujours des problèmes. Ça nécessite beaucoup de réflexion de la part des autorités afin d’améliorer la situation du citoyen