III-Une approche plus ludique :

Notion de trou de ver :

Le concept d'un trou de ver consiste à créer un tunnel entre le trou noir et le trou blanc. Un trou blanc aussi appelé « fontaine blanche » est la symétrie d'un trou noir. Au lieu d’aspirer toute matière, le trou blanc l’expulse. Il crée une courbure de l’espace-temps et se trouve à un point différent de l’univers de notre trou noir.
À noter que le trou de ver est un concept purement théorique : l'existence ou la formation physique d'un tel objet dans l'Univers est de même que les trous blancs, considérée comme hautement spéculative.

Les voyages temporels au cinéma :

Toutes ces nombreuses théories et affirmations évoquées précédemment ont permises de faire travailler l'imagination des réalisateurs menant alors à des films de sciences-fictions ou l'on peut trouver des voyages inter-stellaires dans l'univers (Stargate), des voyages dans le temps et le futur (retour vers le futur)...

Depuis plusieurs années de nombreux films montrant des voyages dans le temps à travers des machines ont été crées, en voilà une liste couplée à différents extraits.

Dans les « Retour vers le futur » et ses suites de Robert Zemeckis, le « convecteur temporel » consomme une énergie de 1,21 Gigowatt, soit une fraction de la puissance d'un éclair pour permettre un voyage dans le passé à une date pré sélectionnée.
On peut noter que la plupart des voyages dans le temps se font en plusieurs essais à l'exception de la « Machine à explorer le temps » de 1960 et son remake tiré d'un roman de Welles de 1895. Lorsque la machine commence le voyage celui qui l'occupe voit le temps défilé et accéléré et choisie l'arrêt à la date voulue.
Dans « Contact » de Robert Zemeckis l'on peut considéré le voyage comme un voyage dans le temps car la capsule occupée traverse un trou de ver ou s'écoulent quelques heures puis elle revient à l'emplacement et au moment de départ allant jusqu'à se que les observateurs contestent le