Aps confiserie haute provence
éléments | ventes | cout de revient | résultat | %du résultat sur les ventes | vin d'oranges | 102 903,00 | 67 386,36 | 35 573,64 | 34,57 | confitures de figues | 44 415,00 | 53 609,04 | - 9 164,04 | -20,63 | pâtes de fruits | 361 260,00 | 311 073,38 | 50 186,62 | 13,89 | totaux | 508 635,00 | 432 804,00 | 75 831,00 | 14,91 |
On constate que le vin d’orange ainsi que les pâtes de fruits dégage un bénéfice. En revanche la confiture de figue fait ressortir une perte. Il faut donc prendre une décision concernant ce produit comme par exemple supprimer celui-ci. Mais cela n’est pas forcément une bonne solution car une partie des coûts se reporteraient sur les deux autres productions. On peut aussi décider d’augmenter le prix de vente de ce produit.
Concernant les travaux réalisés, ils sont légèrement faussés par l’absence de comptabilité de gestion avant cette période : en particulier, les évaluations des stocks initiaux ne sont certainement pas très fiables ; en l’absence de calculs précis, ils n’incluaient certainement pas les charges d’approvisionnement, ce qui explique d’ailleurs les importantes différences que l’on a pu constater sur certains stocks.
Au niveau de la méthodologie adoptée, la répartition des charges indirectes peut quelquefois prêter à discussion, de même que le choix des unités d’œuvre. Par exemple, les achats de sucre, de figues ou de vanille supportent certainement des coûts de transport bien plus élevés que les fruits recueillis sur place ; de même, la fabrication du vin d’orange ne requiert que peu de d’énergie par rapport aux deux autres productions, mais la répartition des charges