Argumentation sur le thème "contes"
Sujet n°2
La vie peut paraître être difficile par moment, où hauts et bas s’entremêlent, surtout quand il s’agit du Moyen-Âge ou des temps passés. Beaucoup de difficultés peuvent être liées à la famille et à la pauvreté et les contes de ma Mère l’Oye de Charles Perrault donneraient des solutions face à ces problèmes. D’où l’affirmation de Bruno Bettelheim : « Les contes permettent, entre autres, d’entrevoir des solutions face aux difficultés de la vie. » Qu’en est-il réellement de cette affirmation? Nous pourrions nous interroger poser quelques questions à ce sujet: en effet, dans quelle mesure les contes de Perrault peuvent-ils résoudre les problèmes de la vie ? Ou encore, quelles seraient concrètement les difficultés du quotidien avancées par Bettelheim ? En quoi les contes riches en éléments merveilleux s’éloignent-ils de notre réalité ? Et, au final, en plus d’instruire, comment les contes parviennent-ils à plaire et à respecter ainsi ce précepte du 17e siècle ?
En premier lieu, il faut mentionner un élément important des contes de Perrault. La plupart des histoires en effet, contiennent une morale. Vu que les histoires ont été écrites fin 1600, on pourrait partir du principe que la morale à la fin des contes servait à la base surtout pour instruire. Pour une personne qui lirait les différents contes au 21e siècle, ceci permettraient plus à faire prendre conscience de certains dangers ou à éduquer. Par exemple, si on décortique plus précisément la morale du Petit Chaperon rouge, on comprendrait alors qu’elle incite à ne jamais adresser la parole à un inconnu, ce que le Chaperon rouge ne fait pas en parlant au loup. Or, cet interdit est transgressé, le conte enseignant les méfaits et les conséquences de cette transgression, Par la suite, elle se fera manger par ce même loup dans la maison de sa grand-mère. D’autre part, on peut aussi interpréter le loup comme un prédateur sexuel, vu qu’il se déguise en grand-mère et finit dans le lit de