Argumentation
Mon droit d’auteur m’autorise. Je me pend sous une inconscience, je me débouche dans un énorme esprit critique, puis je serai là, seine face à la vierge, à la poursuite de quelques poings amoureux pour que je puisse donner vie à ma solitude, mes mots de grâce et de peines. Je ferai de toi, ma liaison de richesse, tu seras ma superficialité, mon égoïsme, le son que taponne les plies de petites créations, esclaves de ma gratitude, reines de mon soulagement, amour de mes mensonges, couvertures de vente. Je ne me venterai pas, je me préoccuperai de mon humble destin de suivie. Je croiserai ma ligne droite de déception matinale ainsi que luisante. Je patienterai dans les bûchées de ma dissertation, digne, digne de son mot, tomber dans le creux, digne de mon âme, digne de moi, prisonnière de mon antérieur inculte mais gracier. Ma descente d’attitude prestigieuse, donne air à mon destin primordiale, expérimenté, dédié aux ressources d’un vielle inconnu, le roi de ma destination, la forte poursuite de ma pensée, le toit de mon malheur, le choix de mon tonner, aîné de cette présence affilée, poignardée, amoureuse.
Mon droit d’héroïne me prévient, me libère de mon innocence indéterminée, demande à la rescousse son âme prélevé au sens direct de la certitude. Je la croise, âme-sœur de mon fusil amoureux. Prétendue, enrichie de petites paresses que j’anéanties . Je sauverai ma loyauté, je garderai fort en moi une partie de pêche honteuse. Je me prouverai, quoi qu’il en soit, que ma force d’aimer parviendra à mon seul obstacle, ma seule présence humaine, mon seul patrimoine grossier, mes pensées désastreuses alourdîtes de puissance réelle, d’amour serein, de paroles, de jugements, pauvres jugements innombrables, accentués, perdus dans mon seul monde de gaieté possible, ma prison