D’abord je dois reconnaître que je ne connaissais pas ce stéréotype de râleurs attribué aux françaises dont le texte parle, et que ça m’a surpris. En général je ne crois pas en les stéréotypes, c'est-à-dire, dans ce cas concret, je pense que les français sont des râleurs, mais ils ne le sont pas plus que les espagnoles. En fait je crois que la « râlerie » est quelque chose d'international qui dépasse les frontières.
De toute façon, c’est vrai comme on dit dans le texte (d’après www.lefigaro.fr, avril 2012), que le personnage ronchon est toujours très actif dans la France. J'ai visité le lien du Championnat de France de Râleurs sur la toile, et j'ai été très étonné de voir comment on peut râler partout, sans cesse, et si rapide!
Je suis d'accord avec Christine Lewicki qu’on ne se peut pas arrêter en la plainte stérile, sinon qu’on doit aller plus loin et frapper la bonne porte, en faisant un critique proactive, pour éviter que tout reste dans le vide.
D' après moi, les gens qui se plaignent le font par habitude, parfois sans se rendre compte, et parfois sans raison. Le premier pas pour arrêter de faire quelque chose est s’en rendre compte et surtout avoir envie de changer. Étant donné que derrière un « râleur » souvent se cache une personne pessimiste qui pense que l’univers a un complot contre lui, peut être sera nécessaire que quelqu’un l’aide à voir la vie du bon côté.
Je pense que les gens qui se plaignent de tout, elles ne font qu’attirer la négativité, et en plus, elles s’installent en un état d’incapacité qui les bloque, tel comme dit le proverbe chinois: «Faites attention à ce que vous voulez, car vous l’aurez». De la même façon, j'ajouterai que la chance n'est pas quelque chose d’innée, mais qu'il faut la provoquer par des pensées positives.
Et je finirai avec un dernier proverbe, en ce cas arabe, que à mon avis, illustre le plus important qu’on a dit jusqu’ici: «qui veut faire quelque chose trouve un moyen, qui ne veut rien faire trouve une excuse».