Art baroque
- Juste avant de quitter le Potager du roi > confis l’artiste. Mais le jardinier lui fait la remarque qu’une transformation est envisageable qu’il le veuille ou non, avec l’affluent humaines, animales, aux plantes qui bougent se déplacent, bien qu’elle parait immuable. > ajoute l’ingénieur.
- Devant le potager et la pièce d’eau des Suisses, exclame le jardinier. L’ingénieur lui apprend que ces les gardes de Louis XIV, qui l’a apportée des collines avoisinantes, que leurs va-et-vient à permis d’assécher l’étang puant, et que d’un marais est nés ce potager et ce plan d’eau. > conteste le jardinier. exprime l’artiste.
- Arriver sur l’autoroute A13, >, dit l’ingénieur. L’artiste lui imagine les premiers tracés sur la carte de France et trouve que l’arrivée à Paris est magistrale par ce grand coude. Le jardinier se demande alors, si cet accoudoir de l’autoroute permettrait alors de contempler la vue.
-En partant vers la forêt de Meudon > se demande l’ingénieur, qui ajoute que . L’artiste répond que lui, il aimerait envisager de la traverser avec la peur de si perdre, le jardinier explique alors, que le forestier dissimule parfois de grande clairières afin que l’homme ne s’effarouche pas.
- Puis le cimetière du parc intercommunal de Clamart, décrit le jardinier, mais l’artiste affirme ensuite que c’est les deux à la fois. > dit l’ingénieur, mais l’artiste souligne que la volonté était justement opposée à cette séparation.
- Etc.…. Après avoir traversé ces différents lieux et autres, ils arrivent au square Récamier, l’ingénieur voie des immeubles avec un beau jardin collectif, mais il est vite corrigé par le jardinier qui lui