Arthur Rimbaud (1854-1891), poète français, commença à écrire ses poèmes vers l’âge de seize ans. Cependant, il renonça à l’écriture à vingt ans. Celui-ci écrivait des poèmes mais aussi de la prose. Rimbaud voyageait beaucoup. On retrouve d’ailleurs le thème de Rimbaud marcheur dans plusieurs textes, notamment dans « Ma Bohême » et « AU CABARET-VERT ». Nous apprenons aussi dans ces textes que Rimbaud était pauvre. La pauvreté se retrouve également dans la simplicité du lieu, du décor,… Dans sa prose « Roman », Rimbaud nous montre son goût pour la modernité. En effet, il introduit les cinq sens avec un vocabulaire toujours d’actualité. Il utilise le même adjectif pour deux sens différents allant même jusqu’à créer un verbe(Robinsonne). La valeur des tirets marque des changements importants. « Roman » est un scénario divisé en quatre parties de deux strophes. Il introduit des lieux et des faits réels dans son poème « AU CABARET-VERT ». Nous pouvons voir que Rimbaud travaillait ses textes grâce aux rejets, à l’opposition entre ce qui précède et ce qui suit en l’occurrence la nourriture et la boisson. Des formulations simples et recherchées sont également présentent ainsi que la création d’un mot (épeure). Dans son poème « LE DORMEUR DU VAL », Rimbaud ménage une chute. En effet, Ce n'est qu'au dernier vers qu’il évoque explicitement le décès du soldat. Le suspens se marque donc jusqu’à la fin. Cependant, nous pouvons trouver une série d’indices. En effet, « il a froid » veut en fait dire que le corps est déjà sans vie. Pour confirmer tout cela, il oppose d’ailleurs la couleur rouge qui symbolise la mort aux autres couleurs. Dans ce poème, un verbe personnel est utilisé de manière impersonnelle. Il évoque des références culturelles et poétiques (Muse, …) et utilise un vocabulaire soutenu et familier tout en élaborant un rapport entre la nature et lui dans « Ma Bohême ». Rimbaud a même eu l’idée de donner une couleur