Asphyxie
Pour compenser cette hypoxie et améliorer l'apport de l'oxygène aux cellules, la respiration est accélérée.
Le cœur , qui manque d'oxygène est donc obliger de travailler plus, cette surcharge de travail peut épuiser le muscle et donc entrainer une insuffisance cardiaque. Ceci peut se manifester par une tachycardie ou des oedemes des membres inférieurs (gonflement des chevilles puis jambes)
L'asphyxie entraine une inondation des voies respiratoires qui se fait avant la perte de connaissance et l'arrêt respiratoire.
La noyade se produit dans le cas où : une personne ne sachant pas nager tombe dans l'eau puis coule après s'être débattue.
Un nageur expérimenté a dépassé ses capacités et se noie après épuisement.
Dans ces 2 cas , une partie de l'eau est avalée et l'autre passe dans les poumons et provoque l'asphyxie progressive, dont l'état terminal est une syncope. Le noyé sera dit « bleu » !
La syncope correspond a un phénomène de perte de connaissance.
En hypoxie importante, de 20 à 30 secondes s'écoulent avant que le cerveau ne fonctionne plus.
Au niveau de l'alvéole pulmonaire, lorsque l'on respire, il y a des échanges gazeux qui se font entre l'air et le sang.
Dans ces échanges, on va pouvoir distinguer des différences de volumes, il va y avoir ce que l'on apelle des gradients. Ces gradients vont correspondre à la différence de concentration de certains gaz dans le sang et dans