Assoicier l'utile et l'agréable
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Lors d’une pièce de théâtre ou d’un court métrage, peu de personnes ont conscience d’être les témoins du point de vue de l’auteur qui, lors de la représentation, cherche à faire passer son message sans qu’il en ai l’air d’un. On peut alors se demander s’il est possible de réfléchir et d’apprendre tout en s’amusant ou si au contraire, le rire peut conduire à faire oublier les aspects du sérieux ; ce qui peut aussi nous amener à se demandé s’il est donc réellement nécessaire d’associer « l’utile à l’agréable ». Dangers ou avantages ? Le rire n’empêche pas de réfléchir, mais cela peut-il l’aidé ? Peut-on ne percevoir que l’amusement et laisser de côté le sérieux du thème ? Et dans tout cela quels sont les risques qu’encoure l’auteur ? Plaire est le but principal d’une œuvre, puisque cette dernière cherche principalement a attirer l’attention du lecteur ou du spectateur. Pour captiver les destinataires, l’auteur cherche tout d’abord un thème susceptible de les intéresser mais aussi un sujet basé sur une sorte d’enseignement, ainsi, pour ne pas les ennuyés il va tacher mais aussi risqué d’étoffer sa création avec par exemple divers types de comiques au risque d’en déguisé l’idée principale ; un dosage difficile car comme le disait Diderot, « il ne faut pas rassasier son lecteur, mais irriter son appétit » donc l’instruire sans manquer de lui plaire. Cependant, si cette production est destinée à communiquer un message plus triste, la mise en place de ces derniers est moins évidente, dans ce cas, le risque de dissimuler le thème principal ne se pose plus puisque l’on perd la nécessité de s‘amuser dans cette situation. Or le moyen le plus efficace pour plaire est bien évidement de divertir le public. Prenons l’exemple de Molière, qui dans Le Bourgeois Gentilhomme à su adopter un équilibre entre l’amusement et l’enseignement ; étant donné que dans l’acte principal qui se trouve être l’acte n°3, les principales scènes sérieuses qui